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Gillian Bellaver, 14 ans, grandit dans l’une des familles les plus riches du monde. Robin Sandza est le fils d’un tueur professionnel à la solde du gouvernement. Ces adolescents semblent n’avoir rien en commun. D’ailleurs, ils ne se connaissent même pas. Pourtant, tous deux partagent d’effrayants dons psychiques, capables de mettre en danger l’humanité entière. Alors que les membres d’une organisation secrète se lancent sur la piste de Gillian et Robin pour découvrir l’origine de leurs mystérieux pouvoirs, Peter Sandza doit utiliser tous ses talents pour protéger son fils. Et la furie n’épargnera personne.

J’ai lu ce roman dans le cadre du Challenge Gallmeister, pour le thème 1 mot = 1 titre. C’est un livre qui je dois l’avouer me faisait un peu peur et sans le challenge, il y a de grandes chances qu’il serait resté longtemps dans ma pile à lire.

Allons droit au but, cette lecture est un flop. Je suis allé jusqu’au bout, mais avec de la peine. Stephen King nous vante un roman de terreur, pour le coup je n’ai ressenti aucun frisson et je cherche toujours la terreur. C’est peut-être un roman d’espionnage couplé à un peu de fantastique avec les dons psychiques, mais c’est tout.

Le roman se passe aux États-Unis à l’époque où il y a beaucoup de guerres de pouvoirs entre toutes les agences gouvernementales, ce qui aurait pu être intéressant, mais John Farris effleure seulement le sujet. Il y a des passages vraiment trop techniques qui m’ont perdu mais aussi des passages carrément scandaleux à mon goût. Tout cela ajouté à des chapitres pour lesquels je cherche toujours l’intérêt font que cela fut vraiment une lecture compliquée.

Pour finir, nous avons droit à un final à cent à l’heure avec beaucoup (trop) de facilités. C’est donc une lecture qui vous l’auriez compris ne m’a pas plu. Ce n’est pas grave, il y en a tellement d’autre.

Ma note : 02 / 10

Lecture terminée le 8 mai 2023